7. Feb. 1823.
[2669,1] Sopra quello che ho detto altrove pp. 2206-208
pp.
2387-89 che l'uso de' sacrifizi nacque dall'egoismo del timore. Toutes les fois que le courroux des dieux se déclare par la famine,
par une épidémie ou d'autres fléaux on tâche de le détourner sur un
homme et sur une femme du peuple, entretenus par l'état pour être,
au besoin, des victimes expiatoires, chacun au nom de son sexe. On
les promène dans les rues au son des instrumens; et après leur avoir
donné quelques coups de verges, on les fait sortir de la
ville
*
(d'Athènes). Autrefois on les condamnoit aux
flammes et on jetoit leurs cendres au vent.
{+(Aristoph. in equit. v.
1133. Schol. ibid. Id. in ran.[Ranae] v. 745. Schol. ib.
Hellad. ap. Phot. p. 1590. Meurs.
graec. fer. in
thargel.).}
*
Voyage du jeune
2670
Anacharsis en Grèce t. 2. ch. 21. 2e édit.
Paris 1789. p. 395. Vedete anche nello
stesso capit. la 3a pag. avanti a questa, circa i sacrifizi di vittime umane, i
quali si facevano principalmente ne' maggiori pericoli e timori, come dice
altrove il medesimo autore. (7. Feb. 1823.). {{V. p.
2673.}}