Fir. 30. Giug. 1828.
[4309,4]
Paul-Louis Courier, Lettre
à M. Renouard,
libraire, sur une tache faite à un manuscrit de Florence, parlando del Longo di Amyot, da lui corretto nei luoghi dove la
traduzione non rispondeva al testo, e supplito colla traduzione nuova del
frammento fiorentino: Mais ce n'est pas seulement le
grec et le français qui m'ont servi a[à]
terminer cette belle copie
*
(la traduzione d'Amyot), après avoir si
heureusement
4310 rétabli l'original
*
(cioè completato il testo colla scoperta del supplemento fiorentino); ce sont encore plus les bons auteurs italiens, {d'où} j'ai tiré (per questo lavoro) plus que des
nôtres, et qui sont la vraie source des beautés d'Amyot; car il fallait, pour retoucher et
finir le travail d'Amyot, la
réunion assez rare des trois langues qu'il possédait et qui ont
formè[formé] son
style.
*
(Fir. 30. Giug. 1828.).