2. Sett. 1828.
[4364,2]
M. Letronne (Nouvel
examen de l'inscription grecque déposée dans le temple de Talmis en
Nubie par le roi nubien Silco.
*
{+V. p. 4412} (iscrizione
illustrata già innanzi da Niebuhr
Inscription.
Nubiens.
Romae 1820.) Journal des
Savans, 1825.) examine ensuite pourquoi la langue grecque
est employée dans l'inscription; ce qu'il explique par l'introduction
(parmi les Nubiens) des livres saints et des liturgies écrites en cette
langue. En effet, le style même de l'inscription, ces tournures
bibliques, byzantines et d'une moderne grécité, prouvent assez
clairement que l'usage de la lang. gr. n'a eu lieu dans ces contrées
qu'après, ou plutôt à cause de l'introduct. de la rel. chrétienne.
....De toutes les inscriptions grecques païennes examinées
4365 par M.
Letronne, il ne s'en est trouvé aucune au delà des limites de
l'empire romain; une fois cette ligne
franchie, tout ce qui est écrit en grec exprime des idées chrétiennes.
Ainsi M. Letronne, après avoir
prouvé (contro l'opin. di Niebuhr) par une foule de rapprochemens philologiques sur le
style de l'inscript., qu'elle appartenait à un roi chrétien, prouve
ensuite que ... ce n'est qu'au christianisme qu'on doit la connaissance
de la lang. grecq. dans ces contrées.
*
Bull. de Féruss. l.
c. alla p. 4312. janv. 1826. t.
5. art. 36. p. 40 - 41. Altro mezzo di universalità per la lingua
greca a quei tempi. L'iscrizione secondo Letronne non è più antica della metà circa del 6.o sec. Niebuhr, che la fa pagana, la mette alla
fine del sec. 3o. (2. Sett. 1828.)
{{V. p.
4471.}}