14. Ott. 1828.
[4408,4]
Alla p. 4359.
Mais toutes ces
différences entre les deux races (dorienne et ionienne) sont bien
postérieures aux âges homériques: ceux même qui les ont le mieux
observées ont reconnu cette vérité.
*
Les Grecs d'Homère
*
, remarque M. Heeren,
*
se ressemblent
4409 tous, quelle que soit leur origine. Il n'y
a nulle distinction à faire entre les Béotiens, les Athéniens, les
Doriens, les Achéens que nous rencontrons dans ses poèmes. Les héros de
ces diverses peuplades n'ont rien de local. Les contrastes qui les
séparent, proviennent de leur caractère individuel et de leurs qualités
personnelles.
*
(Heeren, Ideen. Grecs, (sic) pag.
117.) Il en est de même des dieux. Bien que Junon soit la divinité spéciale de
l'Argolide, Jupiter de l'Arcadie, de la Messénie et de l'Élide, Neptune de la Béotie et de
l'Égialée, Minerve de
l'Attique, toutes ces spécialités disparaissent dans la mythologie
homérique.
*
Ib. l. 7. ch. 3. p. 286 - 7. Questa
mancanza di località ne' caratteri ec. de' Greci omerici, non verrebbe ella da
difetto d'arte nel poeta, piuttosto che da reale uniformità di tutti i Greci di
quel tempo (uniformità affatto inverisimile, trattandosi di tanti popoli, divisi
di governo, e formanti in certa maniera tante diverse nazioni), come l'hanno
creduto questi scrittori? (14. Ott. 1828.). {{In tal caso
però i poemi omerici sarebbero o di un solo autore, o di autori tutti d'un
medesimo paese, cosa non improbabile. Infatti essi non erano {appena} conosciuti nel
Peloponneso al tempo di Licurgo, che {li} portò
a Sparta, cioè portò seco rapsodi che li cantavano,
dalla Ionia. (14. Ott.
1828.).}}