[4373,2] - M. Κärcher ne
doute pas que les langues connues ne proviennent toutes d'une langue
primitive; il se propose etc. encouragé par le suffrage de M. Goulianof, qui se propose,
dit-il, de démontrer la certitude de cette dérivation universelle des
idiomes d'un seul qui fut la souche de tous. Il se pourrait que des
critiques d'une autorité au moins égale à celle de M. Goulianof, fussent d'un avis tout
opposé. Quoi qu'il en soit, et M.
Κärcher est bien le maître
4374 de
préférer son opinion à celle des autres
*
, etc. Champollion-Figeac. Ib. Décem. 1827. t. 8. art. 430. p.
410. (10. Sett. 1828.).