31. Agos. 1828.
[4361,2]
Vouk Stéphanovitch et quelques autres
littérateurs serviens modernes ont cru bien faire d'introduire de nouvelles lettres ainsi qu'une orthographe
étrangère tout-à-fait barbare chez les Slaves. Pourquoi ne pas s'en
tenir à l'ancien alphabet cyrillien?
*
(V. il pensiero
precedente [p. 4361,1] e quelli a cui si riferisce [p.
4372,4]
[p.
4340]). Ib. extrait du Fils de la patrie (Giorn. russo), n.o
26, p. 241, 1824. (31. Agos. 1828.).