2. Sett. 1828.
[4362,1]
Alla p. 4312.
zibbibibl60Plusieurs
peuplades de l'Afrique, de
l'Afrique[l'Amérique] ou de la
Polynésie, chez lesquelles une écriture
tout-à-fait étrangère s'est {introduite} avec
la prédication du christianisme, lorsque leur langage avait été élaboré,
dans l'absence de toute écriture, pendant une longue suite de siècles,
pouvaient etc. Ib. 1826. t. 5. p. 338{-9.} art. 485.
[4362,2]
Alla p. 4340
fin.
Q2928079Dissertatio histor. inaug. de Gulielmo
Tellio, libertatis Helveticae vindice, quam examini
submittet
J.-J. Hisely. In 8.o
viii et 69. pag. Groningen, 1824. (Bek's
Allg. Repertor., 1825.; 1r vol., p.
213.)... Dans le chap. 2. l'aut. examine les faits historiques
attaqués par Freudenberger.
Il résulte de cet examen que G. Tell est injustement accusé
d'homicide.
Ib. 1826. t. 6. art. 138. p.
162. {{V. p. 4372.}}
[4362,3]
Alla p. 4322.
fin.
Q2928079M. Granville Penn donne lecture (à
la séance du 21 juin 1826, de la Société royale de Littérature de
Londres) Q2928079d'une notice
intéressante sur le mètre du premier vers de l'iliade.
Des éditeurs et commentat. modernes se sont efforcés de démontrer que ce
vers pouvait être
4363 rendu métrique
(chi ne dubita, alterandolo a piacere?); Q2928079cependant une
grande autorité classique (Plutarque, de Profect. virtut.
sentiend. c. 9,) le déclare non-métrique (ἄμετρον). (E così
chiamano gli antichi molti altri de' versi d'Omero. {+V. p. 4414.})
Q2928079Pour le rendre métrique, dans leur sens, suivant la
construction ordinaire du vers, ils ont contracté δεϊω, du mot
πηλήίαδεϊω, (sic) en δω. Dans un autre passage Plutarque, expliquant dans quel sens il
appelle ce vers non-métrique, avance que le 1.r.
vers de l'Il.
contient le même nombre de syllabes que le 1r. vers de l'Odyssée,
et qu'il en est de même du dernier vers de Il. à l'égard
du dernier vers de l'Od.
(Sympos., l. 9., c.
3.) Or, le 1.r vers de l'Odys. se compose de 17 syllabes; savoir de
5 dactyles et d'un spondée, nombre exact contenu dans le vers, Mῆ-νιν
ἄ-ει-δε, Θε-ά, Πη-λη-ί-α-δε-ω Ἀ-χι-λῆ-ος. C'est pourquoi M. Penn pense que le poëte, en
articulant le vers, fit une pause au pentamètre, qui se termine par Θεά,
et renouvela l'arsis sur la syllabe suivante: Μηνιν α / ειδε, Θε / ὰ,
Πηλη / ιαδε / ϊω Αχι / ληος. L'auteur soutient qu'il y a, malgré la
transgression des lois du mètre, dans la réplétion et la volubilité du
vers exordial, une magnificence d'images semblable à la première
irruption des eaux d'une rivière, au moment où l'on ouvre l'écluse qui
les retient, et avant que ces eaux, reprenant leur pente naturelle,
coulent d'un cours uniforme et régulier; ce qui paraît beaucoup plus
analogue au début de ce poëme majestueux, que le mètre rigoureusement
mesuré qu'on lui a imposé.
Bull. etc. 1826. t. 6. art. 207. p.
239. Il principio
4364 dell'Iliade, secondo Müller, (v. la p. 4321. lin. 16.) non è di Omero, ma aggiunto da' διασκευασταί. Se ciò è vero, che
dir de' versi dell'età omerica, se si trovano ametri anche quelli di tempi
posteriori a Pisistrato?
[4364,1]
Alla p. 4170.
fin.
zibbibl095La casa delle pitture, c'est ainsi qu'on nomme une maison
découverte à Pompéi à cause des fresques quelle offre, les plus belles
et les mieux conservées de toutes celles qu'on a trouvées jusqu'en ce
moment. Le 12 février 1825, on commença à débarrasser l'entrée de cette
maison. On trouva sous la porte un fragment de mosaïque d'un travail
médiocre. Il représente un grand chien, la chaîne au cou, dans la
position de défendre l'entrée de la maison. Au bas se trouvent les mots
suivans: CAVE CANEM.
Bull. de Féruss. loc. cit. alla p. 4312. janv. 1826. t. 5. art. 40. p.
45. (2. Sett. 1828.)